Elle diminue l’agressivité
En 1992, aux Etats-Unis, alors qu’il travaillait sur des projets de jardins pour les tours de Chicago et New York, Lewis a relaté l’effet des espaces verts sur la violence et l’agression.
Contrairement à toute attente, les arbres et les hautes herbes dans les centres villes n’ont pas incité les criminels, qui pourraient se croire à l’abri des regards, à passer à l’acte.
Bien au contraire. En analysant les crimes déclarés contre les biens et les personnes dans les secteurs résidentiels du centre-ville de Chicago, ils ont conclu que, plus un quartier comportait d’arbres et de plantes, moins le taux de criminalité était élevé.
Une autre étude a montré que les personnes vivant dans des zones végétalisées se sentaient plus en sécurité, avaient des comportements plus citoyens et moins agressifs.